Le directeur de l'agence SCP de Bordeaux, Romain Paillet, est aussi en charge des activités Export de SCP France. Un service qui prend un nouveau tournant aujourd'hui devenant un véritable département. EuroSpaPoolNews a rencontré le Directeur Export à l'occasion de L'International Sales Conference SCP Europe 2021, à Lisbonne, en novembre 2021. 

Les activités d'exportation de SCP France gérées depuis l'agence de Bordeaux

Vous êtes directeur de l'agence SCP Bordeaux depuis combien d'années ?

R. P. : Depuis le 2 février 2012.

Et aujourd'hui vous êtes également Directeur Export ?

R. P. : Oui. Avant 2013, chaque responsable d'agence SCP France gérait ses propres comptes export. Depuis 2013, date du déménagement de l'agence d'Eysines à Mérignac/Bordeaux (33), nous avons centralisé tous les comptes export sur l'agence de Bordeaux, afin de bénéficier d'un back-office professionnel et unique. À cette époque, Jean Seval s'occupait de cette activité, en collaboration avec une assistante sur l'agence de Bordeaux. En 2016, j'ai pris en charge cette gestion, alors que Jean Seval prenait en charge l'activité des bassins publics.
Aujourd'hui, devant la croissance de cette part de notre activité, ce service devient un réel département, dont j'ai la responsabilité tout en restant Directeur de l'agence bordelaise. 

Quelle est votre activité à l'export ?

R. P. : Nous exportons dans une quinzaine de pays, notamment vers les DOM TOM, qui, même si français, nécessitent des formalités douanières et des spécificités documentaires, vers les pays scandinaves, la Grèce, quelques pays d'Afrique du Nord et Subsaharienne. En fait, aujourd'hui, la structure de SCP Europe veut que pour tous les pays où l'on ne trouve pas encore de division SCP, SCP France gère l'activité d'export depuis Bordeaux.

Et en quoi consiste votre mission ?

R. P. : J'entreprends des visites commerciales, pour effectuer la présentation et la promotion de nos produits, tout comme le fait un commercial export. Pour le back-office, je suis secondé par Alexandra Tancray et une personne en contrat d'alternance sur un cursus de Commerce international. 

Comment progresse ce marché ?

R. P. : Il progresse... La pandémie a assurément compliqué les relations, puisqu'il n'y avait pas de déplacements possibles. Depuis, nous utilisons beaucoup les outils en ligne, comme tout le monde, mais le contact humain fait défaut et les gens isolés géographiquement ont besoin de cette présence, c'est ce qui fait la différence.
Certains viennent nous voir ici à Bordeaux. Nous en recevons quelques-uns à l'agence tous les ans et nous avons eu le plaisir de pouvoir les revoir sur les salons, notamment sur celui d'aquanale à Cologne.