Cet été, alors que les touristes affluaient vers les plages méditerranéennes, POOL TECHNOLOGIE contrait la tendance en prenant un bol d’air frais en haute montagne ! Philippe GRARD, son Pdg, accompagné de Michael SPURGIN (Global Products Supply) gravissait le Mont Blanc...

 

Philippe Grard et Michael Spurgin

 

Une ascension difficile et que l’on devine particulièrement dangereuse, lorsque l’on sait que l’un des passages, le couloir du Goûter, a été rebaptisé « Couloir de la mort ».

 
Cellules et électrolyseurs se sont vus abandonnés l’espace de quelques jours au profit de crampons, piolets et cordes !
 
le Mont BlancAu programme de la première journée : 750 mètres de dénivelé en marche, 750 mètres de dénivelé en escalade, pour atteindre le refuge du Goûter à 3 835 mètres d’altitude. Après une soirée multiculturelle très conviviale, debout à 1h30 du matin : il restait encore 1 000 mètres de dénivelé pour atteindre le toit de l’Europe et y admirer le lever du jour !
 
Une belle performance, mais surtout un spectacle magique conférant un sentiment de « plénitude et d’humilité face au danger et à la nature », nous confie Philippe GRARD en toute simplicité. Et d’ajouter qu’il s’était laisser envahir « par la satisfaction, après des mois d’entrainement, de préparation et d’engagement ». L’occasion également de « tisser des liens solides et forts, une cohésion unique » avec des personnes étrangères ou non, qui ont partagé cette expérience.
 
Philippe GRARD nous fait également part du choc qu’il a eu en redécouvrant Chamonix.  Amateur de haute montagne, il pratiquait déjà l’alpinisme 25 ans auparavant. Sa première surprise fut le recul des glaciers, apparaissant comme une évidence. Le réchauffement de la planète ne fait aucun doute ! Autre constat, celui d’une effervescence touristique multiculturelle internationale, aux dépens d’une fréquentation purement montagnarde. Il s’est créé un pôle d’attraction touristique fort, mondialement connu, attirant aussi bien des familles que des sportifs ou des personnes fortunées, venant simplement se divertir et se relaxer dans un lieu « à la mode ». Un progrès économique qui s’avère toutefois particulièrement utile pour le secteur du tourisme. Malgré la perte d’une certaine authenticité, Chamonix est devenu un lieu de vacances international.